À la fête du bureau, je baise la femme du patron.
Il ne pouvait nier qu'il détestait son patron, c'était l'homme le plus intransigeant, le plus paumé et le plus plat du monde, il avait fait tellement de choses insensées qu'il ne pouvait éviter ce jour où, à la fin de l'année, la fête du bureau ou de la maison devenait incontrôlable. Alors si cette nuit-là il avait baisé la femme du patron, chose qu'il n'avait pas prévue mais les boissons et la chaleur du moment l'avaient conduit à avoir dans ses bras la femme de l'homme qu'il détestait le plus, le mieux était qu'elle avait fini si satisfaite qu'il ne doutait pas qu'elle reviendrait pour plus. Sans se soucier des conséquences que cela entraînerait.